Sebrouxx : Messieurs, bonjour. Nous sommes ensemble aujourd’hui au Black Dog et pour la sortie du jeu vidéo Splatterhouse, et pour revenir plus amplement sur la sortie prochaine de votre premier DVD live. Il s’agit en fait d’un concert filmé la semaine dernière à Toulouse. Alors première question : que ressent-on pour une première fois dans un nouveau Bikini (NDLA : nom de la salle Toulousaine) ?
Mouss : Ah ouais, tu commences fort sur ce coup-là. Ah, c’est bien. C’est même TRÈS, TRÈS bien. On connaissait le Bikini de longue date, avec l’ancien Bikini qui a été soufflé par AZF à l’époque (NDLA : le 21 septembre 2001). Donc voilà : on est revenu dans le nouveau Bikini et on a choisi cet endroit pour faire le DVD qui représente en gros quatorze ans de tournée. Enfin treize, quatorze ans de tournée et d’existence.
Sebrouxx : Quinze même puisque vous fêtiez d’ailleurs cet anniversaire ans la semaine dernière.
Mouss : Ouais, quinze ans d’existence puis treize bonnes années de tournée avec six albums. Donc voilà : on l’a fait il y a une semaine et il va sortir en avril/mai. Et on est encore en pleine tournée de l’album Failles (chronique ici). Et aujourd’hui, au Black Dog, pour la sortie de Splatterhouse. Mais je te laisse faire les questions !
Sebrouxx : Il est vrai à voir l’accueil public et critique de Failles, et en y ajoutant la bonne réputation de vos prestations scéniques, on se dit que c’était le moment ou jamais d’enfin le sortir, ce DVD live. C’est le moment d’enfin franchir le pas.
Mouss : Carrément.
Sebrouxx : D’autant plus que pas mal de personnes l’attendaient au sortir de la tournée de Une Somme De Détails(chronique ici).
Mouss : C’est ça. |
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Sebrouxx : Un DVD live avec les featuring de l’album, d’autres invités, des reprises. Les choses en grand, en somme. Est-ce que vous ne regrettez justement pas de ne pas l’avoir fait avant, en 2007/2008 ?
Nico : Non, je trouve que les titres du petit dernier s’y prêtent encore plus. Je serais peut-être resté sur ma faim si on l’avait fait avant.
Mouss : Et puis, en plus, Nico est arrivé avec
Une Somme De Détails et (à l’attention de Nico) c’est mieux que tu aies quatre ans de tournée dans les pattes.
Titou : Ca l’aurait quand même fait !
Mouss : Du coup, tu vois, ça a mis quand même moins de stress à tout le monde. Déjà nous, ça fait treize ans qu’on tourne et on était un petit peu tendu avant la captation. Alors Nico, qui a quatre ans de vécu avec nous, il était tout aussi tendu. Donc c’était bien pour tout le monde que ça se fasse maintenant.
Titou : En même temps, c’est vrai que par rapport à l’idée d’un DVD, on ne l’a pas inventé il y a deux semaines. S’il y avait eu un premier DVD, même de moindre qualité mais déjà avec de bonnes images, on n’a pas réussi à le faire. Donc, là du coup, le fait d’attendre au bout de 13 ans pour un groupe de live, ne pas avoir de DVD, il fallait qu’on fasse les choses du mieux possible. Mais ça a aussi rajouté une bonne pression et plus le temps passait, plus ça devenait compliqué. Et plus on s’est mis la pression. Mais il aurait été presque logique que ce soit le deuxième.
Sebrouxx : Et Toulouse a toujours été le choix premier pour mettre en branle cette captation ou avez-vous réfléchi à d’autres possibilités ?
Mouss : Non, on a réfléchi à d’autres villes, on a regardé les salles, tout un paquet d’endroits. Et il n’y avait pas de salle…
Nico (
coupe) : … qui serait aussi bien que celle-là, que le Nouveau Bikini qui est super fonctionnel.
Mouss : On n’était pas inquiets car, au pire, on en aurait trouvé une autre, sur une autre date de la tournée, si ça n’avait pas été possible. On était même prêt à louer une autre salle sur Paris pour faire spécialement ce DVD. Et puis le Bikini, on s’est tous regardé et ça branchait tout le monde. Okay, super. En plus le patron du Bikini est vraiment un de nos potes …
Nico (
coupe, déterminé) : … et puis c’était un vrai challenge. Tu sais pourquoi ? Parce que c’était un jeudi, parce que c’était loin de Paris et qu’on n’était pas chez nous. Et ça finalement, on n’y avait pas trop réfléchi.
Sebrouxx : Et, autre donnée, ce jeudi-là, la météo ne jouait pas en votre faveur avec d’abondantes chutes de neige, des galères de transports, de voirie…
Mass Hysteria à l’unisson : OUUUUUAIS !
Nico : On a failli ne pas partir. Tu sais le fameux mercredi, à Paris.
Sebrouxx : Ouais, le mercredi blanc.
Mouss : Bien blanc même.
Titou : Et pour l’anecdote, histoire d’ajouter un peu de difficulté, y a quand même eu au Bikini deux jours après nous, le samedi, les Deftones qui jouaient. Et tout le monde n’a pas un budget, un porte-monnaie élastique. Des gens ont dû faire un choix. Mais on était très, très heureux qu’il y ait autant de personnes qui se déplacent pour nous voir un jeudi à Toulouse. On a réussi à driver des gens d’un peu partout.
Nidhal : C’est vrai que le coup des pass billet+bus, c’était plutôt bien pensé. Et ça manque énormément à pas mal d’évènements.
Mouss : Tu m’étonnes. On est plutôt content de cette formule.
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Sebrouxx : Et si vous aviez eu à filmer une précédente prestation à capter…
Mouss (coupe) :… écoute, si on avait l’argent, les concerts, on les filmerait tous et voilà ! Sauf que là, on a fait un one-shot, une seule captation au Bikini et on ne pouvait pas se tromper. Donc t’es un petit peu « stress », un petit peu crispé. Par exemple, le lendemain du Bikini, on jouait à Montpellier, au Rockstore. Et du coup, on était tellement libéré de la veille et de la captation… qu’on a presque donné un meilleur concert ! La veille au Bikini, c’était carton. Et lendemain, au Rockstore, il y avait un petit plus… parce que moins de stress, j’imagine !
Titou : On en a parlé pendant trois à quatre mois de ce DVD ! Et puis la veille gros stress : on prend la route, sachant que tous les poids lourds sont bloqués sur le bord de la route. Et tu te dis : « Et nous, on est aussi dans un poids lourd ! » C’est même plus long qu’un poids lourd entre le bus et la remorque. Alors on a filé, on a fermé les rideaux et (sifflement) le gars qui conduit, il s’est tapé la bonne route bien verglacée et enneigée. Et on est arrivé juste deux heures et demi en retard à la salle (NDLA : Précision. Le concert s’est déroulé à l’heure prévue. Titou évoque le retard pour la mise en place de la scène et du matériel), mais on était sur place. Et c’était là le principal. |
Mouss : Excuse. On défonce tout, tout le temps ! Tu as beau te dire : «
Okay, on fait tout comme d’habitude », il faut faire «
tout-comme-d’habitude+ »! Après tu te dis : «
Et comment on va s’habiller ?» Et tu te dis : «
Stop, les gars, faut pas commencer à penser : on fait comme d’habitude. On ne fait pas attention mais on fait comme d’habitude !» C’est toujours un équilibre entre le «
Comme d’habitude » et le «
Un peu plus que d’habitude. »
Sebrouxx : La vraie somme de détails… qui font différence !
Mouss (
rires) : Voilà, ça, c’est vrai. Tu sais, il ne faut pas se dénaturer.
Titou : On pensait aussi qu’en en rajoutant trop, en faisant un set différent, on n’allait plus être naturels. On voulait absolument capter (
cherche ses mots)…
Sebrouxx : …l’énergie révélatrice d’une date de la tournée de Failles ?
Nico : Exactement. Montrer toute l’énergie que dégage, live, le groupe et celle que l’on envoie précisément depuis le début de la tournée de
Failles.
Sebrouxx : Ca vous tenait donc à cœur de ne pas balancer la setlist best of des 15 ans de carrière de Mass Hysteria, mais de filmer une date significative de cette tournée-là spécifiquement.
Nico : Tout à fait et je pense que pas mal de personnes s’attendaient à ça.
Mouss : T’as tout compris. Donc du coup, ce qu’on va faire, c’est montrer cette date de la tournée de
Failles, avec ce petit côté best of assez conséquent quand même, même s’il n’y a pas tout. Tu as vu la setlist : y a deux albums qui passent un peu à la trappe. L’album
De Cercle En Cercle et l’album noir (NDLA : l’éponyme album datant de 2005). Donc on va sûrement mettre dans les bonus des morceaux filmés live, par exemple, au Vieilles Charrues, aux Eurockéennes… On a plein, plein de lives et on mettra ces morceaux qu’on n’a pas faits sur cette date-là du Bikini. Du moins, je pense. On va essayer de pallier ces morceaux qu’on n’a pas pu faire. On va essayer de les retrouver sur d’autres trucs filmés qu’on possède.
Sebrouxx : Quel va être votre implication, votre niveau d’implication en aval, maintenant que c’est dans la boîte?
Titou : Un paquet de taf !
Sebrouxx : D’autant que la fanbase attend, s’attend déjà à un bon paquet de bonus et surtout un long documentaire !
Mouss : Je sais pour le documentaire. Tu veux que je dise ? Il va falloir être truculent ! Il va falloir trouver l’angle !
Sebrouxx : Restons sur le documentaire. Vous l’imaginez comment ? Plutôt comme une rétrospective des quinze ans d’existence, ou au contraire comme le reflet de votre vie le temps de cette tournée de Failles?
Mouss (
certain) : De tout, vraiment de tout. Ce sera des débuts à aujourd’hui !
Titou : Tu sais, avec tes Jean’s plus à la mode, avec tes pulls horribles de 1998, avec tes chutes !
Sebrouxx : Déjà êtes-vous, vous-mêmes, amateurs de DVD live et de bonus ?
Mass Hysteria à l’unisson encore: Ouais.
Sebrouxx : Avez-vous des références de DVD live où vous vous êtes dits :« Okay, le jour où Mass en sort un, il faut que ce soit aussi bien que celui-là !» ?
Mouss : Dans le spontané, dans le rentre-dedans, je te dirai le dernier Hatebreed (NDLA :
Live Dominance sorti en 2008)…
Nico : …qui est juste énorme.
Mouss : Il est simple, efficace. Il n’y a pas de fioriture. Tu vois des mecs filmés en live.
Nico : Pour tout ce qui est documentaire, ma référence, c’est Pantera (NDLA : Nico fait allusion à
3 Vulgar Videos from Hell). Pantera est juste énormissime dans la déconne. Enfin je ne parle pas du live.
Sebrouxx : Enormissime dans la partie russe de la Tournée et énormissime dans la déconne quand, par exemple à Miami, Dimebag va emmerder Malmsteen en lui offrant une boîte de donuts… etc
Mouss (
rires) : Tu sais, j’ai peur pour nous. Je n’ai pas encore tout visionné. Attends que je pense à d’autres DVD…
Sebrouxx : Vous connaissez celui du Black Label Society capté à l’Elysée Montmartre ? Zakk Wylde et ses potes balancent les retours, 100 litres de bière, font montrer un mec sur scène auquel il passe sa guitare… etc
Mouss : Je vois. D’habitude, j’emmerde les musiciens, je leur fais des croche-pattes, je leur désaccorde leurs guitares, mais là, je ne sais pas : j’ai pas senti le truc comme ça.
Nico : Ouais, et c’est passé hyper vite.
Mouss : C’est passé vite et il ne fallait pas que je me loupe.
Titou : Je suis parfois resté concentré sur mon manche parce que je savais que je voulais super bien envoyer ce passage-là. Et puis, je lève la tête et le morceau est déjà fini ! Les gens, ils gueulent, t’as l’impression qu’ils ne bougent pas. Tout s’enchaîne trop vite. Maintenant, moi, je me suis peut-être mis la barre trop haut. Enfin je l’ai vécu un peu comme ça. Je dois bien jouer mais je dois bouger et en même temps je dois faire «
comme d’hab’ !»
Sebrouxx : Et paradoxalement, en regardant les lives d’autres artistes, vous êtes-vous déjà dit: « Ah là, c’est tout ce qu’il ne faut pas faire sur scène surtout quand ça va finir pressé sur un DVD » ?
Mouss : En live, non, je n’ai pas de référence en matière de ce qu’il ne faut pas faire.
Nico : je n’ai pas trop de CD live et de DVD live. En fait souvent les documentaires m’intéressent plus que le live en lui-même.
Titou : Si. Dans le genre autant côté musique en général c’est super bien, autant le DVD est inutile, il y a un album live de Slipknot… Faut dire t’as des mecs, parfois, l’album, il ne marche pas ou moins bien, ils te sortent un live derrière comme ça, ça leur fait une référence en plus.
Nico : Ah ouais il y a un qui était vraiment, vraiment, vraiment naze. Je ne sais même plus ce que j’en ai fait. J’ai dû le donner ou le jeter, je ne sais pas.
Mouss : Ouais, j’avais entendu ce live et je m’étais dit que là, c’était pas possible.
Sebrouxx : Et côté merveille des temps modernes, vous espérez le sortir et en DVD et en Blu-ray, ou simplement en DVD ?
Nico : Non, en Blu-ray, je ne pense pas. Mais la captation a été faite en HD, c’est sûr.
Titou : Le problème pour les Blu-ray, c’est que tu ne lis ça que sur la PS3 ?
Nidhal : Non, tu as des lecteurs de salon et bientôt la nouvelle freebox HD.
Nico (
à Titou) : Oui tu as même des lecteurs qui font DVD et Blu-ray.
Sebrouxx : Ne vous inquiétez pas : le fan va se contenter du triple-DVD deluxe collector Edition Limitée, le tout blindé de bonus.
Mouss : On n’a pas encore fait la confrontation entre ce que l’on à comme images et nos désirs. Je crois qu’il y a 300 Gigas de vidéos à dérusher. Et j’ai retrouvé hier soir des HI8 de 1997…
Sebrouxx :… qu’il va falloir encoder.
Mouss : Ah merci ! Je cherchais le mot hier soir, ça m’a saoûlé. Tout y est passé : transposer, reformater. Ah ouais encoder, ouais! Mais Rapha (
batteur du groupe), il a moyen de faire ça de son boulot…
Titou : … ouais, mais Rapha, il va mettre trois jours à nous faire ça !
Mouss : Trois jours ? Ouais, trois semaines !
Sebrouxx : Rapha, si tu nous écoutes… D’ailleurs plus sérieusement, comment avez-vous sélectionné l’équipe technique pour la captation et la conception du DVD ? C’est le label qui a tout géré en amont ou vous avez sélectionné les candidats ?
Mass Histeria à l’unisson troisième !: C’est nous !
Titou : C’est encore une rencontre humaine !
Nico : Il (NDLA : Julien, créateur de NRV-TV entre autres) nous avait fait un super montage d’un live au Bataclan et aussi un making-of sur Failles. Comme le courant est passé et qu’on avait vu ce qu’il avait déjà fait avec autres artistes et que le montage qu’il avait fait - tout seul avec une seule caméra - au Bataclan était très convaincant, on n’a pas hésité.
Titou : La démarche est venue de lui. Il est venu vers nous et on lui a dit: « Banco !»
Nico : Vraiment, on a vu ce qu’il a fait tout seul avec une seule caméra. Alors on s’est dit qu’avec huit mecs derrière et une régie, il y avait moyen de faire un truc bien, alors on fonce. |
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Nidhal : Justement côté matériel, il y avait quoi précisément lors de la captation ?
Mouss : Lors du circle pit, on est descendu dans le public et le public tournait autour de nous. Il y avait un mec avec une caméra sur la tête qui était dans le truc. Tu avais aussi une caméra sur la batterie. C’était bien complet, côté matos.
Titou : Y a pas de caméra sur les instruments.
Sebrouxx : Ca alourdit la basse et la guitare tant que ça ?
Nico : Pas vraiment, mais tu vas pas te trimballer avec tout le concert. Ca va juste pour un ou deux morceaux.
Sebrouxx : En gros, si je te suis bien, c’est un truc de geek qui écoute du progressif.
Mouss : Imagine si tu stresses, tu vomis et que tu regardes la caméra ou la guitare.
Sebrouxx : Une nouvelle forme de sweep…
Mouss (
redevient sérieux) : Donc il y avait huit caméras, toutes HD évidemment.
Titou : Et que des mecs derrière qui connaissaient notre musique, et qui nous avaient déjà vu en concert.
Nico : Et que des gars rodés dont tu sais qu’au niveau du cadrage (
claquement de doigts), ce sera bien fait.
Titou : C’est con, hein moi je suis pas du métier mais comme à la télé, les mecs, je ne les ai pas vus. Ils ne m’ont pas fait chier. Vraiment ils nous ont filmé comme on est d’habitude et on ne les a pas vus.
Sebrouxx : Des techniciens totalement transparents.
Mouss : Un peu trop même parce que sur scène, j’aurais bien aimé déconner avec eux. Mais je ne les voyais tellement pas ! Parfois sur les gros festivals, je joue avec ça mais là je n’ai pas du tout joué avec les caméras… parce que je ne les ai pas vues.
Nico : Si, j’ai fait chier Renan (NDLA : un des cadreurs).
Mouss : Ah ouais ?
Nico : Tu m’étonnes !
Titou : Renaaaaan !
Mouss : Il demandait que ça en plus. Mais après t’es tellement concentré que…Tu finis par oublier.
Sebrouxx : Et depuis ce matin, la vidéo qui vous occupe pour le coup, ça se passe plutôt là-dessus, sur cet écran de télé, avec la console et le jeu Splatterhouse. Le jeu vidéo, c’est un truc que vous aimez à la base ? Un truc qui fait passer le temps entre deux dates de tournée, dans le bus ? En gros, Hardcore rockers, hardcore gamers ?
Nico : Ce genre-là, non.
Mouss : J’y joue de temps en temps, mais c’est pas ce que je fais le plus, mais j’aime bien
Resident Evil.
Titou :
Tekken, dans le genre en baston.
Mouss : Mais celui-là, il est efficace. C’est ce qui se fait de mieux dans le genre.
Sebrouxx : Et en plus Bandaï vous a soigné la bande-son avec du Lamb of God, du Mastodon, du Municipal Waste…etc
Nico : Ouais, c’est un petit plus. La bande-son est bien soignée.
Sebrouxx : Et si Mass Hysteria était un jeu, ce serait lequel ?
Nico (
affirmatif) : Je suis sûr, un jeu de bagnoles !
Mouss (
dubitatif) : Ah ouais ?
Nico : Sûr.
Need for Speed.
Mouss : Moi, j’aurais dit
Sonic Trash! Ou
Mario Bros Metal!
Super Metal Mario !
Sebrouxx : Je vous remercie, vous souhaite un bon courage pour la suite de la tournée de Failles, pour le DVD. Après une explosion de Bikini, vous allez vous attaquer sur Paris à la Maroquinerie, le 2 avril 2011. Je vous laisse finir le jeu (NDLA : à peine 5% de progression totale en 6 ou 8 heures passées dessus !), et vous laisse le dernier mot pour les lecteurs des Eternels.
Mouss : A bientôt à la Maroquinerie, les gars, et à vous tous merci, Joyeux Noël et Bonne Année.
Crédits photos :
> SnRx Sébastien Roux
> Nidhal Marbouk. (Big up, Nidhal !)
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Un grand merci à Jehanne du label
AT(h)OME et à Emilie Bendt de la société
Bandaï.
Un grand merci au
Black Dog pour l’accueil réservé.